Migrant

Vingt-sept collectivités dont la région Occitanie, plusieurs départements et la ville de Marseille soutiennent SOS Méditerranée.

La Journée internationale des migrant-e-s instaurée par l'O.N.U s'est tenue le 18 décembre. En France, des rassemblements étaient organisés dans de nombreuses villes. Illustration à Martigues, dans les Bouches-du-Rhône.

Le cas des familles résidant au foyer Adoma de la Coudoulière à Martigues, sous le coup d'une OQTF (obligation de quitter le territoire français), pourrait être celui de dizaines d'autres dans le pays.

Selon le quotidien londonien The Guardian, l’artiste britannique a financé et décoré une embarcation qui aurait déjà sauvé plusieurs personnes en mer. Le bateau serait en ce moment même en Méditerranée.

Le bateau de SOS Méditerranée et son équipage étaient en quatorzaine à Porto Empedocle, en Sicile, où 180 rescapés ont pu être débarqués après...

Si leur navire est encore à quai à Marseille en raison de la crise sanitaire, l'Ocean Viking reprendra bientôt la mer pour continuer à sauver des vies en Méditerranée centrale

L'histoire de Camara, dans sa singularité, ressemble à celle de tant d'autres "migrants", dont on ne veut généralement rien savoir, mais elle prend une résonance encore plus intense en ces temps de pandémie...et d'hommage aux soignants. L'homme dont le titre de séjour expire au 8 juin, est, en effet, aide-soignant dans un établissement pour personnes âgées de Poitiers (Vienne).

Mohamed Lekleti, artiste plasticien, vivant et travaillant à Montpellier nous a adressé un message pour les temps que nous vivons et que nous relayons. Au delà de ses pratiques picturales, cet artiste s'engage pour de grandes causes. Il soutient activement la Cimade dans une opération visant l'évacuation des réfugiés de l'île de Lesbos...

L'Ocean Viking, bateau affrété par l'association "SOS Méditerranée" pour recueillir des exilés en perdition en Méditerranée centrale, est toujours à quai à Marseille, en raison de la situation sanitaire due au Covid-19. Après quatre ans de travail en commun pour sauver des vies, le partenariat avec "Médecins sans frontières" prend fin.

Hé, je me disais, si tu as le temps, l’énergie et l’envie tu devrais écrire un article sur le travail social au temps du Corona, déjà parce que ça fait du bien d’écrire et qu’en plus personne ne prend trop la parole là-dessus. Et je pense que c’est aussi important d’entendre les acteurs sociaux en ce moment ! ». Je suis éducatrice spécialisée, j’ai vingt-cinq ans. Le tout premier jour de ma formation, quand on m’a demandé pourquoi ce métier, je me souviens avoir répondu quelque chose comme « parce que ça prend aux tripes ». Sur le coup, je ne savais pas exactement ce que cela allait signifier pour moi.