vendredi 19 avril 2024
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Globalement inquiétant

La discussion sur la proposition de loi de "sécurité globale" est le dossier majeur du moment à l'Assemblée nationale où le "vote solennel" aura lieu le mardi 24 novembre. Elle est aussi révélatrice d'un air du temps particulièrement nauséabond.

En marche vers la surveillance généralisée ?

En mai 2019, Eric Ciotti, député Les Républicains, déposait une première proposition de loi sur la sécurité. Une des dispositions visait notamment à rendre non-identifiables les forces de l'ordre lors de la diffusion d'images dans l'espace médiatique. Face au tollé, la loi Ciotti avait été rejetée par l'Assemblée nationale le 20 juin 2019. Le gouvernement avait alors "jugé l'initiative trop précipitée", tout en promettant de préparer son propre texte et de le présenter. Voilà qui est fait. En une version plus large qui va jusqu'à vouloir modifier la Constitution française, notamment la loi de 20 juillet 1981 sur la liberté de la presse. Décryptage.

Surveiller et punir

La loi de "sécurité globale" dont les rapporteurs sont deux députés LREM sera en discussion à partir du 17 novembre à l'Assemblée nationale. Sa cohérence globale (justement) et la proposition d'interdire la diffusion d'images de policiers suscitent bien des inquiétudes sur le respect des libertés.

Le crépuscule d’Aube dorée

Aube Dorée, groupuscule néo nazi devenu troisième parti au parlement grec en 2015, vient d'être reconnu par la justice, au terme de sept ans de procès, comme une organisation criminelle. Ses dirigeants sont condamnés de 10 à 13 ans de prison, et à la perpétuité pour l'assassin de Pavlos Fyssas

« 2022 (vraiment) en commun » – Une tribune pour un.e candidat.e commun.e « sur la base d’un projet de rupture »

Nous publions la tribune, parue sur le site de France info, signée par des dizaines de responsables politiques, élu-e-s, issu-e-s de différentes formations de la gauche et de l'écologie, syndicalistes, économistes, historiennes, sociologues...qui souhaitent voir émerger une candidature commune à la Présidentielle de 2022 "sur la base d'un projet de transformation écologique et sociale de rupture". Parmi les signataires : Clémentine Autain, députée FI, Michèle Rubirola, maire de Marseille, Elsa Faucillon députée PCF, Roland Gori, psychanalyste, les sociologues Willy Pelletier et Dominique Méda, les réalisateurs Robert Guédiguian et Cyril Dion, Noël Mamère...

De l’art de perdre les électeurs et les électrices

Où est le citoyen, la citoyenne ? Jusqu'ici, on pouvait dire qu'il ou elle était au moins dans la commune, à travers le vote...

Les masques et les démasqués

Il y a seulement deux mois, ces scènes auraient semblé invraisemblables : le port du  masque se répand dans nos rues et dans les commerces. Cette question, parmi d'autres, révèle les manquements du pouvoir.

« Pour que le jour d’après soit en rupture avec le désordre néolibéral »

Dix-huit organisations (syndicats, organisations de jeunesse, associations écologistes et humanitaires, fondations) signent une tribune commune où elles se prononcent en faveur  " de profonds changements de politiques, pour répondre aux besoins immédiats et se donner l'opportunité historique d'une remise à plat du système, en France et dans le monde".

Joseph Stiglitz :  « Il faut un nouveau contrat social »

Le lauréat du prix Nobel de l'économie Joseph E. Stiglitz était invité le 11 octobre 2019 à la Friche de la belle de mai à l'initiative du Laboratoire AMSE - Aix - Marseille School of Economics, soutenu par la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Il a notamment proposé : "d'affranchir tout pouvoir politique de celui financier pour vaincre « l'anémie de l'économie, le pouvoir des monopoles, la mauvaise gestion de la mondialisation, la financiarisation abusive, le changement technologique mal maîtrisé ».

Réforme de l’audiovisuel : vers des suppressions de chaînes ?

Françoise Nyssen, ministre de la Culture, présente ce matin sa réforme de l’audiovisuel public. Le but est de s’adapter aux nouveaux usages comme les programmes à la demande, et de faire des économies. Les orientations présentées ce matin par Françoise Nyssen sur le chantier de l’audiovisuel public sont très attendues. En décembre, Emmanuel Macron avait qualifié l’audiovisuel public de « honte de la République ». Ce qui s’annonce ne devrait donc pas être uniquement cosmétique.

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