mardi 14 mai 2024
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Archive de la catégorie :

Arts de la scène

Lydie ouvre sa chambre #5 – Mur du temps.

Plus tard il faudrait expliquer qu’on ne nous avait pas enfermés pour mourir, mais pour vivre. Seulement voilà, au début on avait laissé planer...

Une plongée dans l’univers de « Blast » avec les étudiants du M2 création

Nous devions initialement jouer mi-mai à la Bulle Bleue, mais comme les conditions sanitaires ne le permettent pas, nous avons décidé de repenser notre création pour en présenter une forme virtuelle.

Lydie ouvre sa chambre #4 – Une porte à soi

Dans un silence assourdissant, une formation en V de seize oiseaux s’avance d’est en ouest dans le ciel gris plombé avant de se dissoudre, les oiseaux se laissent glisser dans l’air, volupté, ils ne volent pas, ils dansent. On dirait de petites mouettes, mais des mouettes qui se taisent, je n’ai jamais vu ça, sauf dans les grandes marées, assez violentes pour étouffer leurs cris.

Lydie ouvre sa chambre #3.5 – Désir et besoin

Et je me dis : Leurs ventres avaient-ils besoin d’être si pleins pour créer tant de vide ? La peur de manquer s’est ajoutée aux peurs que nous avions déjà. Elle s’est ajoutée aux peurs légitimes, aux peurs pour notre survie. Elle a été créée de toutes pièces par le Grand Confinement.

Lydie ouvre sa chambre #3 – Joie d’animal

Dans ma chambre, pour la première fois depuis Le Grand Confinement, un oiseau est tombé du toit ce matin, j’ai regardé en bas, rien, la mésange a rejoint l’arbre de Judée couvert de fleurs roses depuis deux jours, elle convole avec une autre mésange, sans doute un couple qui niche dans la toiture. Hier tu m’as dit, as-tu remarqué que l’arbre de Judée vient de fleurir ? Je n’avais rien vu.

Lydie Parisse ouvre sa chambre #2 – Le lointain proche

Lydie Parisse confinée signe un second texte de sa chambre. Comme une bouffée d'air circulant de l'intérieur vers l'extérieur ou dans l'autre sens. Les mots de l'écrivaine nous hissent à la hauteur où l'on peut voir et sentir quelque chose de ce monde.

François Noël «La culture est une expérience sans prix».

Depuis les directives ministérielles de début mars, la radicalisation du « restez chez vous » a contraint tout un chacun à se confiner. Cinémas, théâtres et autres lieux de culture ont donc été, virus oblige, contraints de fermer temporairement leur porte. Pour combien de temps ? C’est une question qui taraude François Noël le directeur du théâtre de Nîmes. La culture, cette dimension aussi utile et essentielle à l’humain aura certainement du mal à se remettre d’une longue mise en veille.

Sortir de soi, ou L’Animal imaginaire de Valère Novarina à Sète

A Sète, du dimanche 12 janvier au dimanche 19 janvier, la visite de Valère Novarina a occupé la semaine de l'artiste novatrice Lydie Parisse*, qui vient de lui dédier son essai critique Voies négatives de l’écriture dans le théâtre moderne et contemporain, en écho au texte de Novarina, Voie négative, paru en 2017. Au-delà des conventions profanes habituelles, Lydie Parisse évoque à partir de ce spectacle la dimension sacrée chère à Peter brook qui se créé entre le public et les acteurs.

Summerless d’Amir Reza Koohestani

A ne pas manquer la pièce d'Amir Reza Koohestani au Théâtre universitaire La Vignette à Montpellier. Le dramaturge iranien figure de la nouvelle génération présente Summerless. Les pièces de Koohestani sont le plus souvent basées sur la vie imaginaire, causée par l’environnement politique et social. « Traiter de la politique telle que la présente les médias serait gaspiller la possibilité que nous donne le théâtre » dit-il

« Crowd », chorégraphie phare de l’année 2019

Sélectionner un événement culturel, un spectacle, parmi ceux de l'année qui vient de s'écouler : c'est peut-être un "marronnier" comme disent les journalistes dans leur jargon... Mais qui a dit que les marrons (chauds en cette saison) n'étaient pas bon ? Alors, pour jouer le jeu, bref éloge d'une chorégraphie qui décoiffe

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