mercredi 8 mai 2024
-- Promotion Club Partenaires --
Promo-Partenaires-Altermidi-ScopTI

Archive de la catégorie :

Liban

La France réduite à sa portion congrue au Liban

La France célèbre le 1er septembre 2020 le premier centenaire de la proclamation du « Grand Liban », dans une démarche incantatoire, passéiste, nostalgique d’une grandeur flétrie d’un pays jadis à la tête d’un des deux grands empires mondiaux, relégué désormais au rang de 7e puissance économique mondiale. Et, sur le plan local, réduit à sa portion congrue au Liban du fait des ravages du confessionnalisme qui a gangrené la vie politique libanaise, de même que de sa politique erratique en direction du monde arabe.

Le Tribunal spécial pour le Liban devrait rendre son verdict le 18 août 2020

Sauf rebondissement, le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), ou Tribunal Hariri, devrait rendre le 18 août 2020 son verdict dans l’affaire de l’assassinat de l’ancien premier ministre libanais, Rafic Hariri.

L’Intifada entre politique non-conflictuelle et communication conflictuelle

Au Liban les mots d’ordre rageurs expriment, en creux, le désir des manifestants de se débarrasser tout de suite de leurs dirigeants et d’en finir avec un régime sociopolitique pourri afin que s’ouvre devant eux leur avenir en s’ouvrant à lui.

Liban – Des révolutionnaires en quête de révolution ?

Le Liban, théâtre de deux guerres civiles (1958/ 1975-1990), a célèbré en Mars 2020 le cinquième mois d’un soulèvement populaire, qui transcende les clivages...

Au Liban, des émeutes de la faim attisées par l’épidémie du Covid-19

Plutôt mourir du coronavirus que de la faim”, ont scandé dans la rue les Libanais des quartiers défavorisés, privés de travail et d’aides de l’État, violant ainsi le couvre-feu imposé pour lutter contre la pandémie.

La France malvenue au Liban

Fais sans précédent dans les annales diplomatiques franco-libanaises, la France s’est révélée malvenue au Liban à l’occasion du soulèvement populaire qui secoue ce pays depuis plus d’un mois.

Liban. « Avons-nous un autre choix que de manifester ? »

Samedi 26 octobre, au lendemain du discours du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui a tenté de discréditer le mouvement sans précédent de contestation anti-pouvoir, les Libanais se sont mobilisés de nouveau, à travers tout le Liban. Dans toutes ces régions, les manifestants ont déclaré qu'ils resteraient dans la rue jusqu'à ce que leurs revendications soient entendues et que le gouvernement présente sa démission.

Derniers articles en Une