Proche-Orient

Les députés égyptiens ont approuvé lundi une possible intervention armée en Libye si les forces du gouvernement de Tripoli, soutenues par la Turquie, continuent leur avancée vers l'est du pays, a indiqué le Parlement.

Au Liban les mots d’ordre rageurs expriment, en creux, le désir des manifestants de se débarrasser tout de suite de leurs dirigeants et d’en finir avec un régime sociopolitique pourri afin que s’ouvre devant eux leur avenir en s’ouvrant à lui.

La société civile palestinienne appelle tous les États à prendre des mesures effectives pour stopper l’annexion illégale de la Cisjordanie occupée et les graves violations des droits humains par Israël

Si l’armée égyptienne reste toute-puissante, la police n’est pas pour autant marginalisée. Ses pouvoirs ont été considérablement renforcés durant les dernières années du régime de Moubarak. Et Sissi a poursuivi sur la même ligne. Les forces policières disposent désormais de tous les moyens pour réprimer la population et préserver son pouvoir absolu.

Dans le mouvement de solidarité à la Palestine et au-delà, les regards qui se portent aujourd’hui vers la Bande de Gaza sont dans l’attente anxieuse des effets catastrophiques d’une extension fulgurante du covid.19. il ne fait aucun doute que l’arrivée du virus dans une population épuisée par une crise humanitaire et dont la densité est de 5 400 habitants au Km2 (117 en France) ouvre des probabilités effrayantes de catastrophe.

Le Liban, théâtre de deux guerres civiles (1958/ 1975-1990), a célèbré en Mars 2020 le cinquième mois d’un soulèvement populaire, qui transcende les clivages...

Plutôt mourir du coronavirus que de la faim”, ont scandé dans la rue les Libanais des quartiers défavorisés, privés de travail et d’aides de l’État, violant ainsi le couvre-feu imposé pour lutter contre la pandémie.

La «transaction du siècle», a été conçue par le gendre du président américain Donald Trump, Jared Kushner, et le prince héritier saoudien Mohamad Ben Salmane, en vue d’un règlement au rabais du conflit israélo-palestinien. Dans le cadre de notre partenariat avec Madaniya info nous publions le texte du journaliste palestinien Abdel Bari Atwane, figure de proue du journalisme arabe qui analyse la stratégie menée et ses conséquences pour les palestiniens.

La réalisatrice Alexandra Dols et la psychiatre Samah Jabr, évoquent le documentaire "Derrière les fronts Résistances et résiliences en Palestine". Une oeuvre forte qui circule partout en France et examine les conséquences psychologiques de l'occupation sur la population palestinienne. "Dans le film j' ai essayé de développer la métaphore du souffle (...) si les peuples se soulèvent, ce n'est pas parce qu'ils font des études ou quoi que ce soit, c'est parce qu'ils ne peuvent plus respirer."

Traduction de l'article du journaliste Gidéon Lévy publié dans le quotidien israélien Haaretz. "Il faut venir aujourd’hui en Israël pour rappeler l’Holocauste au monde, mais aussi pour lui rappeler le silence qui règne au sujet de l’apartheid israélien."