Monde

Grèce. Le tourisme est en tête de liste des activités touchées par la crise sanitaire du COVID-19. Le ralentissement du marché du tourisme a un impact direct sur l'activité économique du pays. En Grèce le tourisme représente 25% du PIB et des emplois . Le gouvernement doit présenter son plan cette semaine.

Car s'il est à juste titre montré comme un modèle en matière de gestion sanitaire, le Maroc oscille plutôt entre une exemplarité saluée avec un véritable sursaut de solidarité populaire et un certain individualisme dévoilé notamment par le refus d'accueillir plus de 16 000 de ses compatriotes bloqués en Europe.

Il apparaît clairement qu'il n'y a pas de conspiration émanant d'un petit groupe, mais bien plutôt une co-construction permanente de la réalité.

Ce texte publié par The Conversation est basé sur une étude de Bruno Cautrès, Thierry Chopin et Emmanuel Rivière : « Les Français et l’Europe : entre défiance et ambivalence. Le nécessaire « retour de l’Europe en France », Rapport, CEVIPOF/Institut Jacques Delors/Centre Kantar sur le futur de l’Europe, mai 2020.

70 ans après la déclaration Schuman considérée comme la pierre angulaire de l'Union européenne actuelle, les éditorialistes font le bilan.

Tunisie coronavirus. Le Premier ministre tunisien, Elyes Fakhfakh, se montre confiant quant au déconfinement par étapes qui est engagé.

Mohamed Lekleti, artiste plasticien, vivant et travaillant à Montpellier nous a adressé un message pour les temps que nous vivons et que nous relayons. Au delà de ses pratiques picturales, cet artiste s'engage pour de grandes causes. Il soutient activement la Cimade dans une opération visant l'évacuation des réfugiés de l'île de Lesbos...

 Deux jours seulement après son retour progressif à la normale, l'Allemagne fait face à une hausse des contaminations au Covid-19

Le ministère de l'Intérieur allemand prépare un projet de loi qui autoriserait les services secrets à « hacker » les ordinateurs de rédactions et de journalistes.

La crise sanitaire révèle les effets néfastes de la privatisation du système de santé espagnol. Le Parti Populaire (PP) et l'extrême droite de Vox qui en sont à l'origine crient aujourd'hui au loup en critiquant le manque d'équipements et de personnel du système de santé de l'État. À Madrid, la pandémie met à l'épreuve la solidité d'un système de santé publique miné par les coupes budgétaires et les privatisations mises en place par la droite.