Karen, Professeure de SEGPA raconte
Karen, enseignante et mère confinée ... travaille en zone prioritaire REP+ dans l'Académie de Montpellier. Au collège Arthur Rimbaud, un établissement ou les cas difficiles sont fréquents, elle s'occupe essentiellement d'une classe de 5ème SEGPA. Depuis le début du confinement, elle fait face aux défis posés par les nécessités de la continuité pédagogique. Avec ses collègues, elle fait ce qu'elle peut, et ce n'est pas simple.
Un contrôle policier violent et inapproprié à l’encontre d’un bénévole de l’aide alimentaire
Le lundi 13 avril à 13h, devant l’entrée de la gare Saint Roch, un groupe de policiers procède à un contrôle d’attestations de circulation, dans le cadre du confinement, envers M.G.
Une lettre à adresser aux parlementaires pour s’opposer au traçage numérique
En ces temps de crise globale du capitalisme post-industriel il s’agit de garder les yeux bien ouverts, tant sur la répression intolérable dont sont victimes les peuples voisins et les minorités que sur la mutation progressive de notre société en proie à une surenchère sécuritaire et technologique.
Refusons que la protection de l’enfance soit sacrifiée dans la lutte contre la pandémie
Face au coronavirus, les services de protection de l’enfance, déjà mal en point, ne sont plus en mesure de remplir leur mission d'accompagnement. De...
Journal d’une prof confinée … #3 : Consignes pour consignés
Quelles que soient nos « recettes miracle », la boîte à outils virtuelle à notre disposition (remplie de tournevis, marteaux et autres quincailleries éducatives), l’écran n’est qu’un simulacre de contact humain.
Natalia, caissière dans une boutique bio regarde le monde #4
Hier nous avons causé un esclandre entre les voisins qui prétendent que nous ne respectons pas les règles du confinement en allant sur le toit. Comme si le virus se transmettait à dix mètres de distance, en survolant les balcons et les portes-fenêtres ouvertes au soleil.
Jane jeune travailleuse sociale nîmoise met des mots sur sa colère
Hé, je me disais, si tu as le temps, l’énergie et l’envie tu devrais écrire un article sur le travail social au temps du Corona, déjà parce que ça fait du bien d’écrire et qu’en plus personne ne prend trop la parole là-dessus. Et je pense que c’est aussi important d’entendre les acteurs sociaux en ce moment ! ». Je suis éducatrice spécialisée, j’ai vingt-cinq ans. Le tout premier jour de ma formation, quand on m’a demandé pourquoi ce métier, je me souviens avoir répondu quelque chose comme « parce que ça prend aux tripes ». Sur le coup, je ne savais pas exactement ce que cela allait signifier pour moi.
L’excroissance irrésistible de l’appareil policier
Si l’armée égyptienne reste toute-puissante, la police n’est pas pour autant marginalisée. Ses pouvoirs ont été considérablement renforcés durant les dernières années du régime de Moubarak. Et Sissi a poursuivi sur la même ligne. Les forces policières disposent désormais de tous les moyens pour réprimer la population et préserver son pouvoir absolu.
L’insécurité sociale et physique fait monter la pression
Laurent, 37 ans, chauffeur livreur et militant du NPA à Avignon, il a été contaminé par le Coronavirus. Il nous raconte son vécu de la crise et de la maladie, pour lui il s'agit "de ne pas cesser de lutter." On mesure à travers l'histoire de Laurent la tension qui monte progressivement dans le pays. La situation d'urgence sociale remplace peu à peu la situation d'urgence sanitaire et se présente désormais comme la première priorité du gouvernement.
Carte postale de Tchernobyl
La forêt autour de Tchernobyl continue de brûler. Plus de 400 pompiers ukrainiens étaient toujours mobilisés, lundi 13 avril, pour tenter de stopper un important incendie autour de la zone d'exclusion du site de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Nous nous souvenons tous de la qualité de l'information qui a circulé lors de l'accident de 1986, y compris française — qui ne s'est pas franchement améliorée depuis, comme nous avons pu le constater avec l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen — c'est pourquoi nous avons demandé à une de nos contributrices d'origine ukrainienne de se mettre en veille. Elle rapporte, sous forme télégraphique, des éléments d'information complémentaires observés dans la presse ukrainienne et sur les réseaux sociaux.


