lundi 25 août 2025
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Sasha VERLEI

Sasha Verlei journaliste
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Journaliste, Sasha Verlei a de ce métier une vision à la Camus, « un engagement marqué par une passion pour la liberté et la justice ». D’une famille majoritairement composée de femmes libres, engagées et tolérantes, d’un grand-père de gauche, résistant, appelé dès 1944 à contribuer au gouvernement transitoire, également influencée par le parcours atypique de son père, elle a été imprégnée de ces valeurs depuis sa plus tendre enfance. Sa plume se lève, témoin et exutoire d’un vécu, certes, mais surtout, elle est l’outil de son combat pour dénoncer les injustices au sein de notre société sans jamais perdre de vue que le respect de la vie et de l’humain sont l’essentiel.

ses articles les plus récents

Dans les manifs, Darmanin privilégie le contact

En juin 2021, le Conseil d’État censure plusieurs dispositions du schéma national du maintien de l'ordre jugées illégales ou anticonstitutionnelles. L'Intérieur “revoit” sa copie : la place de la presse est redéfinie dans les manifestations, mais la technique de la nasse est maintenue ainsi que l'usage des armes de forces intermédiaires, comme le lanceur de balles de défense (LBD).

Le pass partout

Le 5 novembre, l'Assemblée nationale a adopté le projet de loi « vigilance sanitaire » qui autorise le recours à l'état d'urgence et au pass sanitaires jusqu'au 31 juillet 2022.

La méthode contestée du gouvernement

Le projet de loi «vigilance sanitaire», qui prolonge l'état d'urgence et « la possibilité de recourir au pass sanitaire» jusqu'au 31 juillet 2022, est actuellement examiné au Parlement. En place depuis le 5 août dernier, le dispositif d'exception, initialement prévu jusqu'au 15 novembre 2021, a tendance à se pérenniser. Au-delà de la vaccination, spécialistes du droit, politiques de tous bords et membres de la société civile s'inquiètent de la méthode de l'exécutif qui limite le contrôle parlementaire et législatif.

La DGPN dispense le CRS auteur du tir d’une sanction disciplinaire

Près de trois ans après les faits, l'IGPN rend son rapport. Le CRS auteur du tir et son superviseur ont été finalement identifiés. La Direction générale de la police nationale estime qu'il n'y a pas de faute grave et ne prononce aucune sanction administrative à leur égard. L'information judiciaire se poursuit.

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