dimanche 24 novembre 2024
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Christophe Coffinier

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Passionné depuis l’âge de 7 ans, de photo, prise de vue et tirage, c’est à la fin d’études de technicien agricole que j’entre en contact avec la presse, en devenant tireur noir et blanc à l’agence avignonnaise de la marseillaise. Lors d’un service national civil pour les foyers ruraux, au sein de l’association socio-culturelle des élèves, c’est avec deux d’entre eux que nous fondons un journal du lycée qui durera 3 ans et presque 20 numéros. Aprés 20 ans à la Marseillaise comme journaliste local, et toujours passionné de photo, notamment de procédés anciens, j’ai rejoint après notre licenciement, le groupe fondateur de l’association et suis un des rédacteurs d’Altermidi, toujours vu d’Avignon et alentours.

ses articles les plus récents

TPE, les élections dont on parle si peu.

Jusqu'au 6 avril, les salarié.es des Très Petites Entreprises (TPE de moins de 11 salariés) sont invités à voter pour les organisations syndicales qui les représenteront aux prud'hommes et dans d'autres instances. Cinq millions d'électeurs pour un scrutin qui depuis 2012 ne fait se déplacer que 10 % du corps électoral, faute de visibilité.

Luna, vocation : chevrière

Louna est une jeune femme de 20 ans, rencontrée lors d’un passage dans le Luberon, à Buoux (84), dans la ferme de M. Morard où elle termine une formation en alternance pour être chevrière. Elle nous parle de sa vocation, de ses projets, de sa réalité.

Anathème imposé

Un spectre hante l’université française, c’est le fantôme de l’Islamo-gauchisme. Enfin, si l’on en croit 200 universitaires signataires d’une pétition en soutien à la cabale, quelques journalistes en mal d’expressions imagées et des ministres sans envergure, celle de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation en particulier.

Refus des salariés d’être marqués à la culotte

L'enseigne de burger française Brut Butcher ne se sent pas en faute d’avoir fait porter des t-shirts aux slogans sexistes à ses salarié.es. « À poêle les dindes », « il faut se la farcir », « un restau très cochon », entre autres phrases « à l’humour décalé », selon la direction du groupe, qui ont fait réagir les syndicats Solidaires et des militantes d’Osez le Féminisme.

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