« La famine à Gaza est la famine du monde entier »
:Si le droit international humanitaire a été établi pour protéger l’homme des horreurs de la guerre, alors Gaza en représente l’épreuve la plus redoutable. Les Palestiniens ont compris que la justice internationale, bien qu’inscrite dans les lois, restera lettre morte si les peuples libres ne se mobilisent pas pour l’imposer sur le terrain.
Gaza ne peut plus supporter davantage
"Le message que les Gazaouis veulent faire entendre est clair : nous sommes ceux qui payons le prix, qui mourons, qui avons faim, qui sommes déplacés et qui vivons l’horreur quotidienne. Donc, nous devons être les premiers décideurs de notre destin."
Les enfants meurent sous les bombes et le silence du monde
". Il n’y a pas de temps pour comprendre, ni pour poser des questions – seulement des cris, de la panique, et de petits corps tremblants sous les couvertures.
Ce n’est pas un récit imaginaire, ni une scène dramatique tirée d’un film de guerre. C’est une réalité qui se répète chaque nuit, sous un silence mondial assourdissant. Et quiconque lit ces mots sans en ressentir le poids devrait se demander : combien d’enfants doivent encore crier pour que nous nous réveillions ?"
À Gaza : Faire de l’action humanitaire un geste politique
" La famine n’est plus un mot lu dans les rapports ou entendu dans les journaux télévisés, c’est désormais une scène quotidienne qui fouette nos consciences."
Gaza = 22 mois de génocide et toujours pas de cessez-le-feu en vue !
" Il devient urgent de promouvoir un discours médiatique et politique réaliste et responsable — un discours qui ne surestime pas les attentes et qui ne laisse pas la population dans l’obscurité des rumeurs et informations imprécises. Les habitants de Gaza ont droit à la clarté."
Gaza reléguée au second plan, mobilisation citoyenne !
A Gaza, les morts soit de faim, sous les balles ou les bombardements ne cessent pas et prennent de moins en moins de place dans nos informations.
À Gaza la déshumanisation de l’aide alimentaire
"Au milieu de cette famine, l’occupation a mis en œuvre une démarche étrange et suspecte : l’établissement d’un nouveau centre dans la région de Netzarim au sud-centre de Gaza, sous prétexte de distribuer de l’aide. Mais ce centre n’est pas géré par des organisations internationales neutres, mais par des entreprises de sécurité américaines privées, lourdement armées."
Un cadavre géopolitique sur lequel s’affrontent les grandes puissances
Aujourd’hui, Gaza n’est pas seulement un champ de bataille, mais un témoignage vivant de la décadence du système international, où l’avenir d’une ville est vendu contre une alliance, et un peuple effacé pour tracer une route commerciale.
Quand les peuples parlent… la vérité éclate
Israël s’est longtemps appuyée sur le soutien de certains gouvernements occidentaux, qui lui ont fourni une couverture politique et militaire, ignorant délibérément les droits de l’homme et le droit international. Mais ces gouvernements ne représentent pas leurs peuples, qui sont descendus massivement dans les rues à travers le monde pour exprimer leur rejet de l’agression et leur solidarité avec les Palestiniens.
La révolution des affamés de Gaza
La politique de famine se poursuit, comme un couteau lent que l'on enfonce sans pitié dans le corps de Gaza. Les points de passage sont fermés, les magasins sont vides et même ceux qui ont un peu d'argent ne trouvent plus rien à acheter.