Sasha VERLEI

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Journaliste, Sasha Verlei a de ce métier une vision à la Camus, « un engagement marqué par une passion pour la liberté et la justice ».
D’une famille majoritairement composée de femmes libres, engagées et tolérantes, d’un grand-père de gauche, résistant, appelé dès 1944 à contribuer au gouvernement transitoire, également influencée par le parcours atypique de son père, elle a été imprégnée de ces valeurs depuis sa plus tendre enfance. Sa plume se lève, témoin et exutoire d’un vécu, certes, mais surtout, elle est l’outil de son combat pour dénoncer les injustices au sein de notre société sans jamais perdre de vue que le respect de la vie et de l’humain sont l’essentiel.
ses articles les plus récents
Partie 3 – Mayotte une situation cyclonique
Les inégalités sociales et économiques de l'Archipel des Comores poussent les habitants à rejoindre Mayotte, parent pauvre de la France. La précarité de "l'île aux lagons", la politique migratoire répressive et le cas des nombreux mineurs isolés sont mis en lumière suite au passage du cyclone Chido qui a dévasté les quartiers les plus pauvres de l'île peuplés par les clandestins. Le bilan officiel controversé et la logistique avant et après cyclone posent questions : des sénateurs de gauche demandent une commission d'enquête.
Partie 2 – Les Comores : une histoire agitée
Les Comores. Le choix colonial français de 1975 de conserver l’île pour des raisons géopolitiques ne génère-t-il pas des crises à répétition que la politique migratoire sécuritaire et répressive ne fait que renforcer ?
Partie 1 – Droit du sol à Mayotte : un faux débat
La restriction du droit du sol à Mayotte a été votée le 6 février par l’Assemblée nationale. Véritable rupture avec les principes républicains, cette disposition, qui doit être validée par le Conseil constitutionnel après un passage au Sénat, est, selon les spécialistes, non conforme à la Constitution et aux textes internationaux.
Le détail des mesures votées en commission mixte paritaire
Composée de sept sénateurs et sept députés, la commission mixte paritaire (CMP), majoritairement acquise à la coalition gouvernementale, transmet au Parlement une version du projet de budget de l’État 2025 approuvée à 8 voix contre 6.