mercredi 2 avril 2025
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Abu Amir

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Rien ne ressemble à la vie. Tout ressemble à la mort

Points de passage bloqués pour toute aide humanitaire depuis plus de 15 jours, rupture de la trêve par l’armée israélienne dans la nuit du 17 au 18 Mars, reprise des bombardements et des injonctions de déplacements, maintenant offensive terrestre dans le froid de l’hiver : les Gazaouis meurent.

Garder le fil des récits de vie à Gaza, coûte que coûte

Peut on parler d’une nouvelle vie pour les Gazaoui.e.s depuis la signature de l’accord de cessez le feu du 19 Janvier ? Au fil de trois récits de vie, nous tissons un aperçu nécessaire, vivant et résistant, à connaître, à transmettre.

Gaza continue de crier mais qui l’écoute, l’entend ?

Le cessez-le-feu n'a pas marqué la fin de la souffrance, mais plutôt le début d’un nouveau chapitre du désastre. Les check point sont tenus maintenant par des sociétés de sécurité privées américaines dont la seule mission semble être d’entraver la circulation et d’humilier les voyageurs.

À Gaza, la réalité d’un accord si fragile, une tragédie continue

"Ce qui est remarquable, c’est qu’en presque 500 jours de violence inouïe, la société palestinienne ne s’est pas délitée."

Un accord pour Gaza, enfin, dans un ciel très sombre

Mercredi 15 Janvier un accord a été signé entre le Hamas et Israël. Accueilli à Gaza avec une joie teintée de peur, cet accord est vu avec calme et prudence d’autant que le matin même de son entrée en vigueur le dimanche 19 Janvier les bombardements et les massacres continuaient dans le Nord de Gaza. Un retour sur cette semaine chaotique et incertaine s’impose à partir de l’analyse de nos correspondants à Gaza.

Soutien psychologique dans les camps de Déplacé.e.s

"J’ai perdu ma maison pendant la dernière guerre et je vis désormais avec ma famille dans un camp surpeuplé où il n’y a pas le minimum de vie privée."

À Gaza le génocide c’est 24h sur 24h , brisons le silence

Depuis près de 75 jours le Nord de Gaza est soumis à la famine par impossibilité de l’entrée de l’aide humanitaire, à des massacres, les bombardements intenses empêchent les ambulances et les équipes de la défense civile d’atteindre les sites, laissant les voix des personnes piégées sous les décombres s’éteindre progressivement jusqu’à disparaître complètement.

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