Un groupe d’étudiants change la définition du Théâtre
C'est à l'Université Paul Valéry de Montpellier que les étudiants de licence 3 Arts du Spectacle, option théâtre, tentent de redonner vie à leur art en cette période où il est mis en péril. Le groupe travaille depuis septembre 2019 sur la création d'une pièce de théâtre : La Tempête de Salem, qui mêle Les Sorcières de Salem de Miller et La Tempête de Shakespeare.
L’année prochaine les universités devront privilégier les cours à distance
La ministre de l'enseignement supérieur Frédérique Vidal, demande aux établissements de l'enseignement supérieur de faire durer les cours magistraux à distance l'année prochaine.
Une plongée dans l’univers de « Blast » avec les étudiants du M2 création
Nous devions initialement jouer mi-mai à la Bulle Bleue, mais comme les conditions sanitaires ne le permettent pas, nous avons décidé de repenser notre création pour en présenter une forme virtuelle.
Natalia, caissière dans une boutique bio regarde le monde #4
Hier nous avons causé un esclandre entre les voisins qui prétendent que nous ne respectons pas les règles du confinement en allant sur le toit. Comme si le virus se transmettait à dix mètres de distance, en survolant les balcons et les portes-fenêtres ouvertes au soleil.
Natalia, caissière dans une boutique bio regarde le monde #3
Les clients défilent derrière la vitre de protection. Ils essuient leur morve contre celle des autres en se collant à elle quand ils me parlent. Peu importe, qu’ils tombent malades, ça n’est plus de mon ressort.
Natalia, caissière dans une boutique bio regarde le monde #2
Je me suis apprêtée comme si j’allais sortir me promener dans la rue, et je suis allée m’installer sur le toit-terrasse. Le confinement va durer beaucoup plus longtemps que prévu. Je compte sur deux mois. Huit semaines, comme des vacances d’été.
Natalia, caissière dans une boutique bio, regarde le monde #1
Je suis employée à temps partiel (10 heures par semaine) dans une boutique alimentaire de petite taille, avec une clientèle relativement aisée. C’est mon premier véritable jour de confinement, parce que je ne travaille pas. Je suis
irrémédiablement surexposée au virus et personne n’en a rien à foutre. Je croise les doigts pour qu’il
ne mute pas en peste noire, et j’étale mes jambes le long de l’amertume de mon café avec délices.
Le coronavirus révèle un racisme anti-asiatique peu visible
Le racisme anti-Asiatique est devenu visible avec la propagation du coronavirus. Jusqu’ici, on en parlait peu, témoignent les principaux concernés. Même si la Française d'origine sino-thailandaise et laotienne dit s'y être habituée, car elle en est victime depuis toute petite, elle trouve ce type de racisme « trop normalisé », trop ordinaire. Depuis un mois, les témoignages de personnes asiatiques poussées hors d'un RER ou qu'on évite par peur du virus, fleurissent sur Twitter. Le coronavirus sera-t-il l'occasion d'identifier un problème vécu au quotidien par une partie de la population ?
Le traitement médiatique des Gilets jaunes
Revue -
La revue les Cahiers du numérique, titre son numéro d'hiver : Récits en mouvement et journalisme numérique. Au sommaire, on y trouve un article intitulé " Le traitement médiatique des Gilets jaunes, un révélateur des tensions qui traversent le journalisme " dans lequel altermidi est cité comme un média interrégionnal qui interroge les pratiques professionnelles du journalismes et l'écosystème médiatique. C'est pas faux !