Jean-Marie DINH
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http://jmdinh.net/Après des études de lettres modernes, l’auteur a commencé ses activités professionnelles dans un institut de sondage parisien et s’est tourné rapidement vers la presse écrite : journaliste au Nouveau Méridional il a collaboré avec plusieurs journaux dont le quotidien La Marseillaise. Il a dirigé l’édition de différentes revues et a collaboré à l’écriture de réalisations audiovisuelles. Ancien Directeur de La Maison de l’Asie à Montpellier et très attentif à l’écoute du monde, il a participé à de nombreux programmes interculturels et pédagogiques notamment à Pékin. Il est l’auteur d’un dossier sur la cité impériale de Hué pour l’UNESCO ainsi que d’une étude sur l’enseignement supérieur au Vietnam. Il travaille actuellement au lancement du média citoyen interrégional altermidi.
ses articles les plus récents
Le gouvernement tente d’exercer une mainmise totale sur l’ordre social et politique
Le Conseil d'État valide l'élargissement des fichiers de renseignement. Les forces de l'ordre vont pouvoir ficher nos habitudes de vie, nos convictions politiques, religieuses & syndicales. Identifiants, photos & commentaires postés sur les réseaux sociaux y seront aussi listés. L'ampleur du contrôle ne fixe aucune limite à l'usage des moyens hors normes que déploie le pouvoir.
Une bonne année pour retourner les perspectives
Voici une nouvelle année où nous allons « tenter de vivre », pour construire ensemble un monde meilleur. La condition d'être d'altermidi est simple, pourrait-on dire. Elle se résume aux liens que nous tissons avec les autres, et à l'information comme valeur essentielle et fondamentale.
« On finit par ne plus croire en rien », et surtout pas en lui.
Billet
Début de l'hiver, après avoir été déclaré positif au test du covid-19, Emmanuel Macron s'est réfugié dans la résidence présidentielle de la Lanterne. Au...
« Beauvau de la sécurité », ou la guerre des syndicats de police
Deux syndicats, Alliance, majoritaire chez les gardiens de la paix, et l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA), majoritaire chez les CRS, ont fait savoir mardi qu’ils ne participeraient pas au "Beauvau de la sécurité" voulu par le président en janvier.


