Brigitte Challande

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Brigitte Challande est au départ infirmière de secteur psychiatrique, puis psychologue clinicienne et enfin administratrice culturelle, mais surtout activiste ; tout un parcours professionnel où elle n’a cessé de s’insérer dans les fissures et les failles de l’institution pour la malmener et tenter de la transformer. Longtemps à l’hôpital de la Colombière où elle a créé l’association « Les Murs d’ Aurelle» lieu de pratiques artistiques où plus de 200 artistes sont intervenus pendant plus de 20 ans. Puis dans des missions politiques en Cisjordanie et à Gaza en Palestine. Parallèlement elle a mis en acte sa réflexion dans des pratiques et l’écriture d’ouvrages collectifs. Plusieurs Actes de colloque questionnant l’art et la folie ( Art à bord / Personne Autre/ Autre Abord / Personne d’Art et les Rencontres de l’Expérience Sensible aux éditions du Champ Social) « Gens de Gaza » aux éditions Riveneuve. Sa rencontre avec la presse indépendante lui a permis d’écrire pour le Poing et maintenant pour Altermidi.
ses articles les plus récents
À Gaza la résistance civile persiste depuis 22 mois
Ce que font les équipes de l’UJFP et les institutions de secours à Gaza n’est pas seulement un effort humanitaire ou une initiative temporaire. Il s’agit d’un engagement profondément enraciné, illustrant une volonté de vivre face à la mort, et une solidarité face à l’abandon du monde.
Offrir la mort en spectacle !
"Ce dont Gaza a besoin, ce n’est pas seulement l’arrêt des bombardements, mais aussi la fin de cette mascarade morale qui fait de la douleur un divertissement collectif. C’est un appel à la conscience mondiale, à tous ceux en qui subsiste un peu d’humanité."
À Gaza, le soutien psychologique, une artère vitale !
« Le véritable test de solidarité ne se produit pas dans les moments de triomphe, mais dans les moments d’épuisement, lorsque le désespoir menace, lorsque la lutte semble vaine » Samah Jabr psychiatre en exercice en Palestine.
Gaza reléguée au second plan, mobilisation citoyenne !
A Gaza, les morts soit de faim, sous les balles ou les bombardements ne cessent pas et prennent de moins en moins de place dans nos informations.