Les Prestataires de Santé À Domicile (PSAD) interviennent à domicile, suite à une prescription médicale, auprès de patients atteints de maladies chroniques ou aiguës en respiratoire, diabète, perfusion ou nutrition. Ils assurent la prise en charge et le suivi des patients afin de leur permettre de vivre leur traitement à domicile dans les meilleures conditions.


 

Accès soins est un Prestataire de soins à domicile (PSAD) c’est-à-dire « une organisation ou une entreprise qui offre une gamme de services de soins de santé et de soutien directement au domicile des personnes. Ces services sont conçus pour répondre aux besoins de ceux qui préfèrent ou ont besoin de recevoir des soins dans le confort de leur propre foyer, ou dans un lieu de convalescence choisi, plutôt que dans un établissement de soins traditionnel. »

Les PSAD, ne sont sensés intervenir qu’en cas :

– d’affections respiratoires chroniques ou aiguës,

– de pathologies nécessitant un traitement par aérosolthérapie,

– de diabète nécessitant un traitement par pompe à insuline,

– de pathologies nécessitant un traitement par perfusion (immunothérapie, antibiothérapie, chimiothérapie, corticothérapie et traitement de la douleur),

– de pathologies nécessitant une nutrition artificielle (nutrition orale, entérale ou parentérale),

– de handicaps comme la mobilité réduite ou encore la perte d’autonomie.

En théorie, le patient est libre de choisir son prestataire de santé à domicile. Il peut demander conseil à son médecin prescripteur ou se renseigner sur internet puis contacter le prestataire susceptible de lui convenir le mieux. Mais qu’en est-il des prestataires de soins ? Sur leur site, Accès soins parle de libre choix des patients, encore faut-il que ces derniers sachent qu’ils se voient prescrire une prestation supplémentaire.

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Passionné depuis l’âge de 7 ans, de photo, prise de vue et tirage, c’est à la fin d’études de technicien agricole que j’entre en contact avec la presse, en devenant tireur noir et blanc à l’agence avignonnaise de la marseillaise. Lors d’un service national civil pour les foyers ruraux, au sein de l’association socio-culturelle des élèves, c’est avec deux d’entre eux que nous fondons un journal du lycée qui durera 3 ans et presque 20 numéros. Aprés 20 ans à la Marseillaise comme journaliste local, et toujours passionné de photo, notamment de procédés anciens, j’ai rejoint après notre licenciement, le groupe fondateur de l’association et suis un des rédacteurs d’Altermidi, toujours vu d’Avignon et alentours.